Shô Kairyu (Shouneeeeet XD)

Nom: Kairyu
Prénom: Shô
Age: 31 ans
Race: Humain
Continent: Nublea
Ville ou village: SVF (Sans Ville Fixe)
Emploi: Rôdeur malveillant
Caracteristique particulière : Guerrier

Arme:

Shô a perdu son Katana maudit il y a fort longtemps. Depuis il utilise 2 Saïs forgés du métal le plus pur et le plus résistant qui soit. Shô leur a donné une dimension maléfique en leur donnant une légende : ceux-ci pourraient découper l’adversaire de Shô rien qu’en faisant un mouvement à 2m de lui sans apparemment le toucher. Cette légende fomentée par Shô est en réalitée pour le faire passer pour un démon au sens propre du terme qui tue ses ennemis d’un simple regard. En réalité, des fils très fins et très résistants recouverts de poussière de diamant qui a la propriété de découper n’importe quoi comme dans du beurre sont manipulés par Shô depuis ses mains. Ce sont les fils manipulés avec une adresse exceptionelle qui découpent les adversaires. Bien entendu, des blessures sont parfois faites sur Shô à cause de ces fils mais la légende trainant sur lui est beaucoup trop importante, ainsi l’on dit que les blessures au fil de Shô sont celles d’autres démons sous leur forme originelle qui ont combattus Shô avant de mourir sous ses impitoyables coups. Donc quoi qu’il arrive, Shô réapparait encore et toujours comme un démon et ses armes refletent cet apparence.
Il est cependant à la recherche de son Katana perdu, Ryusho. Il ne sait pas que celui-ci est entre les mains de son frère, Nii Kairyu. Le Katana aussi recherche Shô. Lorsque Shô le retrouvera, sa puissance sera totalement recouvrée et alors à ce moment là… même les légendes courant sur lui deviendront obsolètes et insignifiantes face à la nouvelle qui se créera.

Histoire:

L’histoire de Shô Kairyu se divise en deux parties, la premiere se divisant elle-même en deux parties aussi. Je connais très bien la seconde grande partie de sa vie puisque j’y prend une place importante. La première partie, et bien c’est lui qui me l’a raconté dans le détail. Certaines parties de sa vie sont restées sombres mais il a eu recours à son Katana maudit pour se remémorer ces évênements. Sacré Shô, il a accordé plus d’importance à un artefact qu’il a trouvé presque par hasard qu’à la vie de son propre frère qui avait gaché sa vie à chercher son frère inconnu. Aujourd’hui, Shô continue de suivre sa voie à la recherche du pouvoir et m’a quitté. Très bien, je comprend son choix même s’il m’est ardu de l’avoir laissé repartir. Je me sens obligée de raconter ce qu’il s’est passé dans sa vie, je ne sais pas pourquoi à vrai dire mais je pense qu’il faut que je le fasse. Pour faire une croix sur lui tout simplement. Voilà c’est décidé, moi, Yuu Suzuki, dirigeante de la partie Est de Nubla je vais noter les chroniques de Shô Kairyu.



La famille Kairyu vivait dans un petit village bordant Apleoda, capitale du continent d’Irca. Cette famille était assez spéciale. En effet, pendant une longue période des hordes de pillards assaillaient ce village. Les voleurs étaient le plus souvent issus de groupes dissous de la capitale et se faisaient les mains sur un petit village de province sans grande importance mais qui renfermait un important trésor. Ce trésor était une série d’artefacts ayant chacuns une valeur inestimables. Leur provenance était inconnue mais rien que le fait de savoir que c’était des trésors suffisaient à en appater plus d’un. En réalité, parmit ses artefacts, seul un Katana avait réellement de la valeur. Les autres n’étaient pas très importants. Tous réunis, ils ne valaient pas la moitié de la valeur du Katana. La famille Kairyu avait la charge de ces artefacts et devaient les protéger coûte que coûte, même si un des membres de la famille venait à en perdre son âme.

C’est ce qui arriva à Shô.

Le premier jour de l’année où les cerisiers étaient en fleurs, un assaut fut mené par une troupe de brigands qui désiraient récupérer les artefacts sur les membres de la famille Kairyu. L’assaut fut fait selon les règles de l’honneur. Un papier fut envoyé au chef de la famille. C’était en vérité un défi lancé à l’ensemble du clan. Ceux-ci avaient le sens de l’honneur et se rendirent donc au rendez-vous. Les brigands étaient présents, ils étaient très nombreux aussi. Le rapport était de deux brigands pour un membre du clan Kairyu. Pour les brigands, le combat était gagné d’avance puisque si la réputation du clan Kairyu était grande dans tout ce qui touchait le combat, les brigands étaient très nombreux et la force de certains d’entre eux était reconnue de tous. Les fiers membres du clan Kairyu menèrent un combat se relache. Sur le champs de bataille des dizaines de corps de brigands et de membres du clan Kairyu étaient étalés, sanglants. Il devait rester moins de 5 Kairyu et encore une quinzaine de brigands plus leur chef. Les 5 Kairyu étaient les meilleurs du clan et ils réussirent tant bien que mal à vaincre leurs adversaires. Les artefacts étaient sauvés mais les Kairyu ne se leuraient pas. Une autre offensive comme celle-ci et s’en était fini du clan et des artefacts. En revenant, ils n’étaient plus que 4, un autre était mort de ses multiples blessures en chemin. La joie n’était pas présente. Le chef de famille se fit réconforter par sa femme au ventre rebondit. Son fils allait naitre sous quelques jours et il représentait pour cet homme l’avenir du clan. Mais le clan avait-il encore un avenir ? Il était completement décimé et il fallait que la prochaine génération soit plus nombreuse… ou forte.

Il dut prendre la décision la plus difficile qu’il soit de prendre pour un père.

Shô naquit un jour où les fleurs des cerisiers étaient les plus belles et les plus nombreuses dans les arbres. Sous le grand cerisier du village, un enfant vint au monde. Cet enfant fut appelé Shô. Shô comme « le premier ». Il représentait la nouvelle génération et était donc « le premier » des nouveaux Kairyu, Shô Kairyu. Tout le monde était en joie, une fête fut même organisée dans le village. Une seule personne ne partageait pas cette joie alors qu’elle aurait dû se trouver au centre des animations. Cette personne était le père du nouveau né. Il ne faisait pas la tronche, il était joyeux. Mais tout au fond de lui il savait que son fils ne serait jamais une personne normale. La dure décision qu’il avait dû prendre une semaine plus tôt avait été de soumettre son fils à un entrainement tellement intensif que jamais il ne pourrait voir le jour et partager les joies, les peines et les aventures d’un enfant. Il devait pouvoir protéger ces artefacts que le sort avait rendu les membres du clan Kairyu responsables. Il serait seul, il le serait toute sa vie d’ailleur. Il allait être le dépositaire de tout ce que gardait les Kairyu, à savoir les artefacts. Il avait prévu de lui donner les artefacts mineurs pour que sa force n’ait aucune rivale. Jamais il ne lui serait venu à l’idée de lui donner le Katana. Sa puissance était trop grande et il renfermait une entité maléfique. En contrepartie du don des artefacts mineurs qui allaient rendre son pauvre fils très puissant, il fallait que Shô fut éduqué de la meilleure façon qu’il soit. Ses qualitées seraient premierement d’être bon, juste, partial en toute situation et quelques soit les circonstance. Il fallait aussi lui insufler la notion de justice de protection des personnes chères à lui. Bref son fils devait avoir une personalitée parfaite pour contrebalancer le danger des artefacts.

Chapitre II : La menace fantôme (The Phantom menace pour les fans XD )

Ainsi, le nouvel enfant Kairyu était né. Tout le monde se réjouissait de cette naissance. Tout le monde ? Et bien non, car une petite personne completement irreductible résistait encore et toujours à la tentation d’être contente. Cette personne était bien entendu son père. Il adorait son fils, probablement plus que tout au monde, mais quel père pourrait se sentir fier alors qu’il destinait son fils à ne jamais être heureux et à vivre entouré d’objets n’ayant pour but que de dénaturer son âme. Pendant les 5 premieres années de sa vie, Shô fut élevé comme une personne normale. Enfin dire personne normale quand on était quelqu’un comme lui serait totalement dénué de sens. Même s’il n’allait pas encore subir l’entrainement si difficile qu’allait lui prodiguer son père, il ne croisait jamais personne et les enfants du village semblaient le fuir. En fait, depuis qu’il était né, aucun enfant n’avait suivit. Et pas seulement dans la famille Kairyu mais aussi dans le village entier. Peut être que ne faire aucun enfant dans tout le village sur 5 années pouvait passer normal mais le problème était que les autres, ceux qui étaient plus vieux que Shô se méfiaient de lui. Ils le fuyaient et donc les 5 années que Shô aurait dû passer tranquillement ne furent que 5 années à être seul et sans amis.

Il ne regretta rien quand son père commença à l’entrainer.

A 5 ans, Shô commenca donc à suivre un entrainement très très difficile prodigué par son père. Il fut aussi éduqué comme celui-ci le désirait et rien ne semblait mal aller, bien au contraire. Pour l’entrainement il montrait non seulement des aptitudes assez exceptionelles mais ce qu’il fallait retenir était surtout que il adorait ca. Si il rentrait totalement épuisé de chaques scéances d’entrainement à un point tel que il s’écroulait sur son lit sans manger, il en resortait toujours plus fort. Son père en était d’ailleur très étonné puisqu’il ne lui avait pas donné les artefacts. Il comptait les lui donner quand Shô aurait atteint au moins 12 ans. A 8 ans, le niveau de Shô était tel qu’il parvenait à se mesurer à un des 4 membres du clan encore en vie. Bien sur, celui-ci ne se battait pas avec des armes tandis que Shô oui. Il utilisait un Katana en bois et 2 saïs qu’il maniait avec une grâce et une adresse peu commune. Le Katana restait son arme de prédilection cependant.

A 10 ans, l’entrainement de Shô se basa cette fois sur l’apprentissage. Si la force physique d’un homme faisait beaucoup, son père estimait que Shô devait pouvoir savoir lire, écrire, compter etc… Il devait aussi connaître sa propre histoire. Il montrait moins de volontée à se cultiver mais il le faisait, rien que pour faire plaisir à son père. A cette époque, Shô était encore une coquille vide qui ne vivait que pour se battre avec son père. Ses journées étaient en effet toujours les mêmes. Lever à 6h du matin, petit dej express, entrainement jusqu’à midi pour le repas et ensuite l’entrainement recommencait. Il ne s’en plaignait pas à vrai dire mais sa famille proche s’inquiétait un peu de sa santée mentale puisqu’il n’aspirait à rien. Même son père voulait souvent arrêter de l’entrainer une journée ou deux pour que Shô puisse vivre normalement. L’expérience fut faite une fois d’ailleur. Mais Shô qui n’était qu’une coquille vide, comme dit précédement, était désemparé de se retrouver libre sans rien n’avoir à faire. Il passa sa journée à s’entrainer seul pour passer le temps. Il le fit dans un petit bois se trouvant non loin du village. Quelle erreur fut faite ce jour là !! Si les parents de Shô l’avait su, jamais ils n’auraient essayés de lui faire passer une journée seul. Mais moi j’en suis contente à vrai dire, car cette journée fut le premier contact de Shô avec le monde de la puissance.

Il s’était entrainé non loin de l’endroit où étaient cachés les artefacts. L’esprit du Katana s’éveilla lorsqu’il ressentit l’aura de cet enfant. Il fut intéressé et s’amusa à l’observer quelques temps. Enfin quand je dis « lui » c’est par rapport à l’esprit lui-même. Il s’agit en véritée d’un esprit féminin mais Shô ne m’a jamais dit à quoi correspondait cette personne… surement une rivale >_< . L’esprit fut attiré aussi par le fait que Shô fût une coquille vide, donc parfaitement malléable. Toute la journée, durant l’entrainement, elle lui murmura à l’oreille des paroles servant à modifier son esprit. Les effets s’en ferait ressentir beaucoup plus tard.

Ainsi, après ce petit apparté, je reviens au sujet principal à savoir, ce qu’il fut décidé pour Shô. Sa culture et son intelligence furent éduquée autant que il l’était pour le combat. Je préfere passer la partie sur son apprentissage des caractères et des mathématiques. Je crois que le plus interessant pour lui fut l’histoire, plus précisément celle de son clan. Son père se mit à le sensibiliser sur la mission de son clan et donc celle qui allait devenir sienne pour normalement toute sa vie. Je dis bien « normalement » car si tout avait été « normal » je n’aurais jamais connu cet homme.

La création du clan remonte à quelques générations avant. A une époque qu’on pourrait considérer d’âge d’or pour le continent d’Irca, la famille Kairyu faisait partie des troupes secrètes de la famille Royale. Les missions menées par chaque membres de la famille étaient des missions souvent données directement par le Roi lui-même sans en parler à ses conseillers. Parfois les Kairyu étaient utilisés pour la diplomatie. Enfin bref, si c’était l’âge d’or du continent, c’était aussi l’âge d’or de la famille. Les Kairyu avaient gagné leur importance de par la force de chaques membres de la famille mais aussi de par les techniques de combat du clan, de l’intelligence des chefs et du fait que tous étaient unis. Cependant, un jour funeste, un jeune membre du clan ne se montra pas à la hauteur de la famille dont il faisait partit, bien au contraire. Il s’attacha à un groupe de mécontents du Roi et fut manipulé pour être son assassin. Personne à l’intérieur du clan n’était au courant de ses projets et de ses fréquentations. Il essaya d’assassiner le Roi mais fut stoppé par la garde après un combat sanglant. Le Roi fut prit d’une fureur sans pareille et décida de mettre à prix chaque tête des Kairyu. Le chef du clan vint pour parlementer, et étant un ancien ami du Roi, il eut droit à la parole.

Le Roi lui laissa le choix. Mais ce n’était pas vraiment un choix, plutôt un ultimatum. Si le clan Kairyu acceptait de perdre la moitié de ses membres, de se retirer dans un village paumé et de veiller sur des artefacts maudit dont les origines restaient inconnues, le Roi s’engageait à cesser les poursuites contre le clan. Le chef n’eut pas le choix et accepta. Finalement il aurait peut-être dû refuser et accepter de vivre comme la pire des racailles car la mission donnée par le Roi amènerait de toute manière à l’anihilation du clan à long terme. Et cela par la derniere personne que l’actuel chef du clan Kairyu aurait pu penser.

Cette histoire bouleversa Shô. Mais il ne savait pas que c’était les murmures du Katana maudit qui faisaient effet. Il fut bouleversé dans le sens où il avait apprit qu’il pouvait récupérer un pouvoir qui dépassait l’imagination. Ce pouvoir pourrait peut-être étouffer la soif de puissance donnée par le Katana, caché au fond du petit bois dans une caverne et attendant patiemment son heure. Tout cela, Shô ne le savait pas et personne d’autre dans le clan ou dans le village n’était au courant de ce qu’il lui était arrivé. L’esprit du Katana s’était dit à l’époque que ce n’était pas la peine d’en faire plus pour l’instant. Elle attendrait que Shô vienne de lui même vers elle. Elle attendrait, de toute facon elle ne pourrait rien faire d’autre et cela faisait déjà une éternité qu’elle attendait. Que pouvait représenter quelques années pour elle ?

La derniere chose qu’on puisse dire qu’elle est fait fut de donner une libertée d’expression à Shô, c’était tout. Mais cela avait pour seul but de lui permettre de se sentir plus comme quelqu’un et pas comme une machine à combattre. Et puis ainsi quand il sera completement formé, il viendrait à elle et elle le posséderait. Rien n’était plus simple en véritée.

Le jour des 12 ans de Shô, son père lui fit le présent tant attendu. Il était attendu mais ce n’était pas forcément en bien. Son père avait du mal à se résoudre à dénaturer l’âme de son fils, mais comme son ancêtre auparavant il fallait faire un grand sacrifice pour que le clan survive et que sa maudite mission ne soit pas un échec. Shô accepta les artefacts ainsi que les conditions. Ceux-ci étaient au nombre de 4. Un torque où un rubis était incrusté, une bague où un saphir avait lieu de bijou et deux émeraudes jumelles qui rentraient parfaitement dans les 2 saïs que Shô possédait déjà. Chaque pierres précieuse renfermait un fragment d’esprit. Chacune prodiguait une force nouvelle à Shô, une force telle qu’il n’en avait jamais connue. A vrai dire, les pierres renforcaient l’esprit et l’intelligence de Shô pour le torque, une force peu commune pour la bague et l’agilité et l’adresse pour les émeraudes jumelles. Shô accepta les présents avec fierté et rien ne semblait avoir disfonctionné. Les Kairyu soufflèrent tous puisque maintenant ils savaient que leur fils ou neveu était assez fort pour ne pas succomber au pouvoir des artefacts et la force prodiguée par eux le rendait assez puissant pour les protéger contre les brigands qui de nouveau recommencaient à vouloir récupérer le trésor.



Bon, maintenant que le principal est dit et que les ficelles de cette machine infernale sont placées, il suffit d’attendre que les évênements se succèdent, inéluctablement (petite dédicasse à J. Coctau mon ami de toujours XD). Pendant 2 ans, jusqu’à ses 14 ans, Shô repoussa seul les multiples assauts provenant de toute part des brigands qui se faisaient étrangement de plus en plus nombreux. Shô semblait heureux car il prenait de plus en plus plaisir à massacrer ses adversaires aussi facilement qu’écraser une araignée (même si que dans Tintin, Rastapopulos il galère trop à en écraser une petite ; Shô il y arrive, trop la classe 8) ). Ces émotions arrivaient lentement, dans les rêves de Shô sous l’apparence d’une femme très belle qui le suivait partout et l’ammenait dans le petit bois avant de le posséder totalement et completement sans lui laisser la moindre chance d’esquive. Je me souviens de cette nuit où Shô a voulu me montrer ce qu’elle faisait XD. Puis au fur et à mesure des nuits qui passaient, Shô se laissait faire par cette apparition car il se sentait vivre grâce à elle. Il se sentait puissant, fort, aimé et terriblement dangereux. Il ne lui manquait que le pouvoir pour que cette femme lui appartienne réellement, il en était sûr. Il n’avait pas tord en fait puisque cette femme se révélerait plus tard être l’esprit du Katana maudit.

C’est donc à 14 ans que l’âme de Shô qui était auparavant completement pure et bonne devint une âme pervertie par un artefact maudit. C’est là la seconde partie de sa première vie d’être normal. Son âme totalement transformée, était habillement manipulée par l’artefact qui agissait à travers les autres artefacts sur Shô. Plus l’âme de Shô se transformait, plus l’artefact s’éveillait, prenait de la puissance et son emprise sur Shô devenait plus forte. C’est là l’époque de la rencontre tant attendue de par l’artefact depuis plusieurs siècles avec une personne puissante, totalement apte à recevoir sa propre puissance et son esprit. Shô se baladait en forêt sans savoir que ses pas étaient guidés par le Katana et les artefacts qu’il arborait. Il arriva inconsciemment à l’endroit où il était allé s’entrainer seul une fois, 4 ans plus tôt. Ses artefacts se mirent à étinceller et ils semblaient indiquer un lieu dans le bois. Il s’agissait d’une petite grotte cachée derriere une petite cascade. Le cœur de Shô s’était mit à frétiller. Il s’était rendu compte qu’il était en train de suivre le même chemin que pendant ses rêves. Il se demandait s’il allait rencontrer la belle femme dont il était à force, tombé amoureux. Il la rencontra à l’entrée de la grotte. Elle le guida comme elle l’avait fait mainte et mainte fois dans la grotte et ils parcoururent un labyrinthe incroyablement long et compliqué. Shô conaissait cependant ce labyrinthe presque par cœur puisqu’il l’avait emprunté, suivit de sa belle tellement de fois. Ils arrivèrent à l’endroit où d’habitude elle le possédait. D’habitude cet endroit était une sorte de foret luxuriante en plein fond d’une grotte mais là il n’y avait que le Katana, planté dans le sol, mit dans son fourreau, qui gisait sans aucun décors spécial autour. La belle de Shô l’invita à s’approcher du Katana, sans un mot, comme d’habitude. D’ailleur elle ne parlait jamais durant leurs rencontres.

Rien qu’à ce souvenir, mon corps tremble. Il tremble d’effroi autant que de jalousie. Je crois que ce fut la seule fois de son existance réelle que Shô fit ce qu’on lui intima de faire, lui qui ne se faisait jamais manipuler. Enfin bref, lorsqu’il s’approcha du Katana, une voix lui susurra à l’oreille.

« Prend-moi »

Il est amusant de voir comment la destinée des gens peut completement changer à cause d’un simple malentendu. Ou peut-être que c’était ce que désirait l’esprit du Katana. Quoi qu’il en soit, l’âme totalement pervertie de Shô ne pensa pas à retirer le Katana du sol mais plutot à « prendre » sa belle sans aucun ménagement, comme l’aurait fait n’importe quel satyre de la Mythologie Grecques (vive la culture moi jdi :p ). Maintenant que j’y repense c’était en effet ce que désirait surement le Katana. Pendant que Shô s’affairait sur sa belle, assouvissant un désir contenu depuis tant de temps, l’âme de Shô tel qu’elle avait été connue se faisait absorber par le Katana qui ainsi pouvait se libérer sans aucune aide… enfin si, celle de Shô justement. Lorsque l’absorbtion de l’âme fut terminée, il ne restait plus que le corps de Shô, dénudé, sur un tas de terre. Je pense qu’à ce moment là, le Katana était vraiment amoureux de Shô car normalement elle l’aurait laissé mourir comme un légume.

A l’intérieur du Katana, un dialogue eut lieu entre l’âme de Shô et l’esprit de l’artefact. Je ne sais pas ce qu’ils se sont dit mais d’après ce que Shô m’a accordé à savoir ce fut ceci :

Katana : « Si tu veux survivre, tu dois m’appartenir totalement. »
Shô : « De toute façons tu gagne sur tout les points et tu as besoin de moi pour survivre. »
Katana : « Tu as raison et je ne puis me résoudre à laisser un amant tel que toi ainsi. Je te propose donc ceci. Je garde ton âme en moi et je te permet d’évoluer en ce monde à ta guise. Mais jamais tu ne m’échappera car tu m’appartiens totalement. »
Shô : « Je n’ai pas le choix. Mais de toute façon ca me convient vraiment. »
Katana : « Ainsi le pacte est scellé. Je me nomme Ryusho, sans moi tu n’es plus rien. »

Shô rentra chez lui, completement transformé. Et plus jamais rien ne fut comme avant.

D’après la mémoire incrite dans Ryusho, Nii, mon frère inconnu est né le jour où je suis partit de la maison, massacrant tout le village et ma famille. Apparemment j’avais oublié ma mère ou alors je ne l’ai pas achevé. Il faut dire que dans la confusion de la situation j’ai pu la confondre avec le tapis en peau de buffle de la maison. Ce jour là, ma fureur était née de la destruction de Ryusho devant mes yeux par mon père qui avait peur que mon âme soit obscurcie par la possession de cette arme soit-disant « maudite ». Ce que je ne savais pas c’était que mon père l’avait substituée à une autre et qu’il l’avait entreposée dans une cache secrete, à savoir le double fond du divan. Ainsi donc, Nii Kairyu est né le jour où tout le monde est mort. J’avoue ne pas comprendre comment il a fait pour survivre. Je pense que il est né juste à coté de l’endroit où avait été entreposée Rysuho et celle-ci ayant compris le potentiel contenu dans cette âme avait choisi de le protéger et de s’occuper de lui. Le contenu de mon âme et de ma résistance corporelle. Ensuite, je pense que ca a fait comme moi. L’arme a littérallement absorbé le petit corps de Nii et s’est occupée de le maintenir en vie pendant quelques années puis l’a ensuite relaché après avoir essayé de le pervertir. Mais je lis dans l’esprit de Ryusho que ca n’a pas marché, je ne sais pas pourquoi et Ryusho refuse de me le dire.

[tiré de la fiche de Nii Kairyu]



Voici l’essentiel de la vie de Shô Kairyu. Par la suite, il a erré pendant 10 ans sur Irca sans but. Il était dépossédé de son âme. Le pacte n’était cependant pas rompu car sinon il serait mort. Ryusho, par amour pour Shô l’a laissé partir et l’abandonner. Mais elle savait que Shô n’était plus lui-même sans son Katana maudit. Depuis qu’il a commencé à erré, il a jeté dans la flotte les artefacts. Il paraitrait même qu’un petit homme aurait retrouvé la bague au fond d’un lac alors qu’il faisait la peche avec son cousin. L’attirance qu’aurait suscité cette bague aurait conduit à un affrontement entre les deux semi-hommes et celui qui l’aurait trouvé serait mort de la main de son propre cousin, Sméagol (celui qui me dit qu’il l’avait deviné dès le début et bein il est fort !! kiki avait pensé à ca ? hein ? héhéhééé :p ).

Cependant, Shô découvre tout un monde jusqu’alors inconnu. Il ne se doutait pas que en ce monde regorge tant de merveilles et de richesses. Mais rien ne pouvait remplacer Ryusho. Les premieres années de son errance il était désemparé et ne pensait qu’à elle. Il devint fou à cette époque. Pendant 10 ans il massacra à mains nues des dizaines et des dizaines de personnes sans raison valable. Après la perverssion, un nouveau sentiment était né en lui : la frustration. Il était presque une légende vivante. On redoutait tous de lui. Rien ne lui faisait peur, rien ne lui résistait. Pendant ces 10 ans il devint plus cruel et sanguinaire qu’il ne l’avait jamais été. Il resta cependant solitaire. Tout le monde le fuyait. En fait il avait été fuit toute sa vie, même quand il était une âme pure et bonne.

Un jour il apprit quelque chose que personne n’avait apprit ni essayé d’apprendre. Il existait un autre continent caché de tous par le Roi. Ce continent s’appelait Misthar. Je ne sais pas comment il fit, mais il arriva à aller sur ce continent coupé de tout. Peut être que le fait de ne plus posséder d’âme propre à lui lui conférait quelque chose de spécial lui permettant de passer les barrieres soit-disant infranchissable qui séparait les 2 continents. Il continua son voyage et changea souvent de continent. Il recherchait quelque chose. Ce n’était pas Ryusho qu’il recherchait car il la pensait détruite. En fait c’était son lieu de provenance. Il se renseigna partout. En 10 ans on en parcourt du chemin. Et finalement il trouva. Un 3e continent existait. Ce continent appelé Nublea l’attirait plus que tout. De la même facon qu’il avait traversé Irca et Misthar, il arriva à traverser la barriere séparant ces continents de Nublea. Il arriva sur la partie Est du continent, celle que j’occupe actuellement et que j’occupais alors à l’époque.

Il se forgea vite une réputation. Mais d’abord il se fit forger 2 saïs ayant exactement la même apparence que ceux qu’il avait auparavant. Même les émeraudes étaient incrustée, mais des émeraudes normales. Il se créa lui-même ce qui allait devenir son arme secrete et qui allait contribuer à la naissance de sa légende de démon. Cette arme secrète était des fils fins très solides, très résistants, recouverts de poussière de diamant qui a pour propriété de déchirer n’importe quoi comme du beurre. Il était fin prêt à s’attaquer à Nublea.



Pendant 5 années, Shô se balada dans l’immense continent de Nublea. Il se forgea sa réputation de combattant invinsible et insensible et une légende commenca à courir sur lui. Il n’était pas un homme, il était un démon. Un démon comme jamais on en avait vu. C’est à ce moment que je me mit à jeter un œil sur cet homme. Sa puissance m’interessait.

Il était toujours autant assoifé de pouvoir, de puissance et de meurtre. Rien ne l’arretait, il allait où bon lui semble. C’est un combattant solitaire dont la seule pensée était de retrouver le lieu où avait été forgé Ryusho pour savoir comment retrouver son âme disparue. Il ne fait aucun doute que lorsqu’il retrouverait son âme, il deviendrait encore plus puissant et avec l’ambition démesurée que lui avait insufflée Ryusho, il voudrait se lancer à la poursuite du pouvoir. Et sur Nublea la façon d’avoir du pouvoir est de dominer une région… ou l’ensemble du continent.

Je l’attendais, mon corps frissonait à l’idée de rencontrer cet homme si puissant. Peut être que à l’époque je me demandais si je pourrais lui faire oublier Ryusho, sa belle, la seule femme qu’il ait jamais aimée.

Cet partie de sa vie est la plus palpitante qui soit de toute son existance. Je pense que je vais essayer de mieux vous décrire cette partie de sa vie…

Caractère:

Sadique, obsédé par les plaisirs en tout genre, pervers et masochiste à ses heures perdues. L'on raconte dans certains milieux qu'il serait homosexuel mais cela n'est pas sur même s'il ne fait rien pour le démentir. Malgré tout, il est très convivial avec les gens qu'il connait, il aime rigoler et s'amuser avec ceux qui essayent de prendre le risque de le cotoyer alors qu'ils ne le conaissent pas.
Il est sans cesse à la recherche de la personne qui a forgé Ryusho, ou plutot l’endroit où elle a été forgée. Il ne sait pas cependant que Ryusho est un esprit qui s’est accaparé un Katana exceptionnel.
Il est totalement obsédé par la perte de Ryusho. Non seulement l’esprit se trouve être le grand amour de sa vie mais il faut savoir que plus de la moitié de son âme y est enfermé. Il n’est que l’ombre de lui-même et se trouve à la moitié de sa puissance originel, même si cette puissance reste quand même assez incroyable.

Physique:

Poids : 72kg
Taille : 1m80

Corps assez svelte entouré d'une sorte de pellicule semi-argentée, semi-dorée. Lors d'un clair de lune, il apparait couleur argent et lorsque le soleil tape sur son corps, une aura dorée apparait.
Il a les cheveux blonds et les yeux d'un vert olive flamboyant.
Il apparait comme une personne très gentille, avenante etc... mais ce n'est pas du tout le cas.
Il a un air un peu mystérieux qui fait qu’il impressione assez les gens.
Son style vestimentaire est assez sobre ce qui lui donne un air encore plus mystérieux. Il est fort mignon et si il n’était pas comme il est aujourd’hui, on peut être sur que il en ferait tomber plus d’une ^^.
Il est aussi assez stock et peu manier n’importe quel type d’arme (à part des 38 tonnes c’est pas facile XD)

Techniques :

Intimider ==> « Pétrifier » de peur un ennemi
Imiter ==> Répéter l'action de l'allié précedant

Particularités:

HP élevé
rapidité

Autre(s): Gros mécant beuh pas bien, caca, pas beau !!

Yéé depuis le temps qu'on attendait ta fiche ^^ beh la famille Kairyu au complet nao

Beh que dire? Ta fiche elle est géniale c'est tout, pis elle est intéresante, et pis l'avatar... m'enfin tu sais XD

Beuh vilain frère de mon nounours >_< Moi je dis Sus à l'ennemi :p

Sinon, j'adore ton histoire et ton avatar :oops: même si c'est Nii le plus beau d'abord

T'inquiete ma justicière, ton nounours te protegera contre les gros méchants... même si on sait tous que Nii y va crever, de toutes facons un nounours reste un nounours et donc il sera tjrs là (it's beautiful what I said... ralala encore des restes de ce put*** de controle d'anglais, chui fini avant d'avoir fait triso me >_<)

allé youpla boum !!! amenez les seringues bande de trompettes