La famille Okanne est une riche est puissante famille de chevaliers et ce, depuis des générations. L'héritage de cet famille réside dans leur immense manoir. Ils gardent tout leur fortune et leur trésors dans cet demeure. Une demeure immense, aux briques blanche. La grande porte est faite de bois sombre et la grande poignée d'argent. Quel que escaliers mènent à la porte. On y est vite accueilli chaleureusement par une douce atmosphère.
Sayoku est seul avec son écuyer dans une grande salle à l'étage. Des boule de cristale fin au centre de la pièce illuminée par une petite lueur blanche qui est là à titre d'éclairage pour la pièce. Le jour du sacrifice approches et dans cet demeure on l'accueil toujours de manière fenêtre. Les nuages sont épais dehors et la pluie est de tel violence, que ce fait entendre à l'intérieur du manoir. Sayoku était assis dans un fauteuil gris un livre à la main. Il portait des vêtement noire, alors que son ecuyer détonais avec une tenue gris pâle. Ses long cheveux noires étaient soigneusement attaché. Toute ses pensée était autour du contenu du livre. L'écuyer est la pour lui tenir compagnie mais voie clairement que le chevalier n'est pas d'humeur pour discuter. Alors il quitte silencieusement la pièce espèrent ne pas le déranger. Quelques bruits de tonnerres se fessaient entendre et la pluie devenait plus violente. Il ferma alors son livre et regarda parr la fenêtre. Les goûte de pluie s'abattaient violemment contre la vitre et perlait ressemblant presque à des yeux en larme. La cité semble plutôt mélancolique. Le ciel est sombre aucune lumière peut percer se voile d'obscurité. C'est alors qu'on frappa à sa porte. Il sortit brusquement de se tableau dépressif et se retourna vers la porte. Un jeune homme au cheveux blond qui lui cache les yeux et une tenue paysanne entra brusquement.
''Mon seigneur le grand maître du patriarche est aux porte. Dois-je le faire entrer?''
Sayoku eu un sourire narquois.
''Pas tout de suite faite le patienter.''
Normalement il n'aurait pas apprécier que son valet ne laisse pas entrer ainsi un inviter surtout sous une tel pluie mais il sagi là du grand prêtre, son ennemi juré. Il enfila sa cape rouge et des gant de cuire noire. Il descendit les marches qui mènent aux hall d'entrer. Il vit que le grand prêtre était trempé et semblait irrité de cet attente dehors par un tel temps. Ce n'est pas un temps à mettre un chien dehors....à moins que....
Il devait se montrer tout de foie courtois et poli pour préservé l'honneur de sa famille. Les deux homme se foudroyèrent du regard. LE valet et l'écuyer partirent en vitesse voyant ses deux hommes se dévisager ainsi.
''Salutation ''grand'' prêtre.''
''Bien le bonjours mon ''seigneur''. ''
Sayoku eu un sourire narquois.
''Quel mauvais temps! n'est-il pas?''
Le prêtre retint sa colère.
''À qui le dites-vous. C'est un temps à avoir pitié pour les bêtes et les garder à l'intérieur''
''Cela dépend toujours. Personne n'a de pitié pour les rats.''
Les yeux du prêtres devinrent grand par la colère mais il se ferma les yeux et prit un grande respiration.
''Parlant de rat vous savez sans doute que le jour du sacrifice approche a grand pas? Sachez que ceux qui sont sacrifié sont les ennemis de la cités?''
''Certes mais pourquoi venir me dire cela. Vous savez très bien que je n'assiste jamais à ses rituelles.....''
''Baliverne tout nobles doit assisté au sacrifice il s'agit de la survie de la citée.''
''Vous semblez à tenir à ma présence pour venir me dire cela par un temps pareil. Je vais donc accepter votre invitation''
Le vieil s'apprête a quitter satisfait.
''Si j'accepte ce n'est pas pour le plaisir sadique de vois le sang des innocents couler, c'est pacque je ne refuse jamais d'invitation sous le toit de mes ancêtres.''
Le vieil homme quitta faisant mine devoire rien entendu. L'écuyer et le valet revint un peut nerveux. Sayoku les regarda avec un sourire rassurant. Juste à cet expression leur tension partire.
''Si cet nuit le temps n'est pas radoucit vous dormirez ici si vous en avez envie. Je ne ferai jamais marcher des homme d'honneurs par un temps pareil.''
Ils comprirent le sous entendu de la déclaration du seigneur et se mirent a rire. Sayoku prit alors congé et monta dans la salle ou il se trouvait il n'y a pas très longtemps pour continuer son livre.
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